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Le Devin Lunaire

Isa longtemps appelé Saïx, a dans les 35 ans et est né au Jardin Radieux. Il vit désormais en Contrées du Sanctum. Aspirant Capitaine.


Test


J’ouvre un oeil, quelques émanations m’ont rappelé à la vie, les dernières braises se défont dans l’âtre. La nuit a fini sa ronde, je commence à distinguer la tache de moisissure qui orne le mur de la seule autre pièce de cette maison, je me retourne vers la fenêtre. La vue est obstruée par deux courbes féminines. Une se creuse à hauteur de son ventre, l’autre culmine au niveau des hanches. Elle frissonne, l’une des nombreuses couvertures en laine a glissé au bas du lit et l’a laissée indécente. Je dépose la mienne sur ses épaules et me lève pour déposer une bûche, puis redémarre le feu. Il faudra que je retourne dans la forêt pour couper du bois.

Je m’approche de la fenêtre et l’ouvre avec difficulté, tentant de ne pas définitivement briser les charnières. Il faut dire qu’on ne voit plus rien au travers, tout est sale et misérable ici.

—Viens te recoucher.

Je ne l’avais pas entendue s’éveiller ni bouger. Je ne me retourne pas, je profite de l’accalmie matinale. Dans une demi-heure les vaches et cochons passeront dans la rue, la boue sera partout, jusqu’à nos genoux.

—Dors, toi, si t’en as envie. Moi je ne peux plus.
—C’est toi qui as fait un courant d’air. Tu m’as réveillée.
—C’est toi qui dors à poil.

Elle s’apprête à riposter puis elle s’interrompt à la fin de son inspiration, remarquant qu’elle dort sous ma couverture qu’elle détaille avec surprise comme si elle venait de découvrir un filon d’or.

—Je déteste tes couvertures. Elles sont rêches.

J’attrape une cigarette sur une table et l’allume —une des seules merveilles de technologie que l’on peut se permettre dans cette zone— je m’assieds sur l’appui de fenêtre et la regarde avec un sourire ironique.

—Je me demande pourquoi je t’héberge, tu n’aimes rien ici, espèce de gamine ingrate.

Elle se relève subitement et s’assoit sur le lit, s’enroulant entièrement dans la couverture qu’elle rechigne tant à supporter.

—Déjà. Parce que tu adores ma compagnie et que tu ne pourrais t’en passer.

Je sens le vent effleurer le bas de mon dos étroit, me procurant un frisson exaltant jusqu’au niveau de mes côtes qui se creusent d’autant plus.

—Ensuite parce que personne d’autre que moi te supporte dans le coin.

Je mime l’étonnement puis l’inquiétude.

—Ah bon ? Qu’est-ce qu’on t’a dit sur moi ?
—Les clients te trouvent froid, ou trop calme, ils trouvent ça suspect.
—On ne m’engage pas pour faire des courbettes. Si seulement ils avaient pu me voir l’autre jour démolir la face de…
—C’est vrai. J’aurais bien aimé voir ça…
—Et donc, qu’est-ce qu’on dit d’autre ?
—Mes amis te trouvent suffisant.
—C’est parce que personne ne mérite ma compagnie.
—A part moi.

Elle me lance un regard assuré que je réussis à défaire en faisant rouler mes yeux.

—Non ?
—Bah. Si tu n’avais pas besoin qu’on t’héberge, si tu gagnais ta vie, si tu ne dépensais pas tout en rubans pour tes cheveux, si seulement si…

Elle se lève pour de bon, et toujours habillée de sa cape improvisée elle s’approche de moi manifestement agacée, avec une pointe de détermination.

—Sans moi, tu serais triste. Allez, dis-le.

Me souvenant de cette version de moi-même qui était dépourvue de réel sentiment, je réponds, méthodiquement, froidement, de façon hachée.

—Sans toi, je serais triste.
—Va te faire foutre.

Demelza se plaque contre moi, m’enlaçant, m’imposant sa chaleur et la douceur de sa peau. Je reste rigide un instant puis me force à la gratifier de quelques caresses.
Je sais que je pourrais être heureux, aimer plus que je ne le fais ces jeux de chiens et chats, je sais que je pourrais décider de la laisser entrer si je le voulais. Mais non.

Pas plus capable de la laisser partir, dès qu’elle fait mine de s’éloigner, de se rapprocher d’un autre, de trouver du bonheur ailleurs, je lui donne des miettes d’attention, je la touche là où elle ne sait se refuser à moi et nous oublions le reste quelques heures. Elle s’en contente et revient, pour un temps. Serais-je jaloux qu’elle soit heureuse ou qu’elle puisse l’être avec un autre ? On en a trop souvent préféré d’autre à moi, je profite de cette première place qu’elle m’offre mais ne lui en donne plus.

—On dit aussi que tes cheveux bleus sont douteux.
—Les gens n’ont vraiment rien d’autre à faire. As-tu seulement vu les monstres que l’on peut trouver dans l’armée du Sanctum ? De qui se fout-on.
—Certains pensent même que tu es l’enfant d’une sirène.
—Ce qui expliquerait pourquoi je suis venu vivre au Domaine Enchanté.

Sans relever la tête vers moi, elle rajoute.

—Enfin… tu pourrais au moins les couper. Je ne crois pas les avoir vus un jour raccourci depuis que nous nous connaissons.

Elle fait tourner entre ses doigts une mèche de cheveux en dessous des mes omoplates.

—Et malgré le temps que tu passes dehors, tu as toujours le teint aussi pâle. Avec cette cicatrice, cela te donnerait presque un air de revenant.
—Ca y est, ça recommence. Qu’est-ce que je disais. Tu es ingrate, jamais contente.
—Mais non. Je dis juste que… Bah, c’est bizarre quoi.
—En outre, je te ferai remarquer qu’il semble toujours faire gris ici.

Elle élève une moitié de tête au dessus de mes épaules, de façon à avoir les yeux tournés vers l’extérieur.

—Tu aurais vu comme c’était avant. Je veux dire, avant le dragon. Et même, bien plus avant, la vie n’était pas la même.
—Je pourrais aussi te parler de mon chez moi, quand j’étais encore un gamin. C’était beau. J’imagine qu’on peut dire que c’est encore plus beau aujourd’hui, plus majestueux, mais ouais… C’est différent.
—Tu veux dire… Ton vrai chez toi, le Jardin Radieux.

Dés qu’elle fait mention à cette ancienne vie, je sens ma tête bourdonner , je me demande à chaque fois si j’ai bien fait de lui en parler.

—Tu sais que… il ne vaut mieux pas en parler hein. Ce n’est pas une affaire d’état mais… j’aimerais autant que les gens évitent de se poser les bonnes questions.
—Ne t’inquiète pas. Puis… tu sais, si les gens en parlent comme ça, c’est pour plaisanter sur tes cheveux, et passer le temps… Ce n’est pas comme si quelqu’un ici avait les moyens ou les raisons de mener son enquête sur toi.
—Oui. C’est plutôt pour les gens qui viendraient d’ailleurs que je m’inquiète.

Elle prend légèrement ses distances avec moi.

—Quelqu’un te voudrait du mal ?

Je réfléchis sérieusement à la question, la regardant sans la voir, je vois passer les différents visages de l’Organisation. Qui puis-je éliminer ? Si leur simili est mort, ça ne veut pas dire qu’ils ont vraiment disparu. Mais pour qui serais-je un danger, qui aurait des raisons de souhaiter ma disparition, ou pire, ma présence à ses côtés ? Et alors, un visage me fait face en lieu et place de celui de Demelza. Un visage puis deux, puis trois. Et je vois alors toutes les formes qu’ «il » a pris. Je sais ce qu’il a fait la dernière fois qu’on a entendu parler de lui. Tout ça pour disparaître à nouveau aussitôt.

Rien n’est prévisible et la notion de temps perd tout son sens dès que l’on rentre, même une fois, dans l’ombre de Xehanort.

—Ca va ?
—Ouais… ouais, ça va.

Plus tard.

J’avance dans la rue, direction Claude, un usurier qui a pris l’habitude de faire appel à mes services. La plupart de mes clients trouvent que je sais montrer suffisamment persuasif, mais pas trop. La plupart du temps, je réussis à me maîtriser, et cela même quand la cible est particulièrement récalcitrante. Je sais  ce qu’il arrive quand je ne parviens pas à le faire, et il vaut mieux que les autres l’ignorent. Par chance, je ne me promène plus continuellement avec une claymore faisant pratiquement ma taille ; pas plus que je ne me promène avec mon vieux manteau noir, équipement qui, il faut le dire laissait peu de mystère.

Je me suis adapté aux us et coutumes de la vie au Domaine, je porte des vêtements des chemises en lin, des pantalons et vestes en cuir qui sentent encore l’odeur du tanneur. Les parfums, tout sent plus intensément ici, bien plus qu’à Illusiopolis, bien plus qu’au Manoir. La pluie sent, les gens sentent, les bêtes sentent, la mort sent.

—… sorcière… Roxas.

Quelques mots ressortent dans une conversation tenue à environ un mètre de mon chemin. Ce n’est pas la première fois que j’entends parler de sa célibrissime personne, évidemment, qui le pourrait ? Personne ne semble pouvoir échapper à l’aura de l’homme le plus fort de par les mondes, pas même quand on a élu domicile dans un trou perdu comme mon faubourg. Je pense continuer mon chemin mais la suite de la conversation me cloue les pieds au sol.

—…Mais que vient-il faire ici ?

Ici… ici ? Quelque chose m’aspire ailleurs, compresse ma gorge. Quelque chose que j’ai senti naître ce matin en pensant à mon ancien maître. Une crainte que l’on ne peut rassurer avec des mots, non, je dois questionner, je dois en être sûr. J’approche les deux vieux hommes en train de discuter. Je les connais plus ou moins, et je n’ai jamais eu à faire à eux « professionnellement », ce qui est plutôt bon signe. Ils me reconnaissent et deviennent muets quand ils remarquent l’intérêt que je leur porte.

—Bonjour Messieurs, je n’ai pas pu m’empêcher d’écouter votre conversation. Vous parliez du Maréchal de la Lumière.
—Hem… Oui. Celui-là même, jeune homme. Je disais à mon ami ce que tout le monde raconte déjà aujourd’hui dans cette rue et même ailleurs, pour tout dire.

Il est vrai que tout le monde semble s’ennuyer, alors la visite d’un étranger aussi renommé et notamment tapageur, déclenche son lot de conversations.

—Il est donc venu ici ?
—Figurez-vous qu’il…

Il commença avec beaucoup d’aplomb puis se ravisa et baissa de plusieurs crans la portée de sa voix pour éviter tout autre dérangement.

-…qu’il s’est présenté au Domaine Enchanté sans y avoir été invité, sans s’être fait annoncer auparavant, bref, sans aucune forme de protocole. Et là, il a demandé à avoir des terres et des titres aux premiers gardes qui passaient par là. C’est extraordinaire non ? Comme ça. Tout comme je vous le dis là, Messieurs.
-Quoi ? Ici ? Au Domaine Enchanté ?
-Bah ça oui ! Et il parait même que des gens du château l’ont envoyé remplir une mission pour gagner sa terre. Vous imaginez ça ?!

Non. On ne peut imaginer. On ne peut comprendre quelle lubie est encore passée dans la tête d’un être aussi dégénéré que lui. Un gamin — quel que puisse être son âge — avec les pouvoirs d’un Dieu. Sans doute espère-t-il être reconnu comme tel dans un pays qui place la religion avant tout, même avant son roi, même avant sa Princesse.

-Mais pourquoi ? Pourquoi voudrait-il des terres…? Enfin, pourquoi ici ?
-Moi je pense que quand on a tout, le pouvoir, l’argent, on en veut toujours plus. Ça a du lui passer comme ça, par la tête, il vit dans un château il parait, là à la lumière, alors  peut-être qu’il a voulu avoir le sien.

Oui Roxas, pourquoi ici en particulier ? Tes motivations me sont étrangères et je m’en moque à vrai dire, mais pourquoi fallait-il que ta dernière lubie t’entraîne au seul endroit où j’ai décidé d’aller. Je quitte la conversation sans plus réfléchir, désarçonné, déconcentré, j’en ai presque oublié la raison de ma venue ici. De tous il est le seul à encore montrer des signes de vie dans l’univers. J’ai bien entendu quelques rumeurs au sujet des autres mais s’ils sont là, ils sont bien cachés.

J’entendais parler de lui, rien d’anormal là dedans, mais toujours comme un murmure lointain, j’ai suivi sa « carrière » en gardant mes distances, craignant la menace qu’il pourrait devenir. Est-il toujours simili ? Je ne crois pas avoir jamais entendu parler d’un combat duquel il serait sorti perdant.

A force de remuements intérieurs, je me heurte à une charrette arrêtée au milieu de la rue. Sentant la douleur monter dans le bras, je cherche le conducteur pour l’insulter et ainsi épancher ma soudaine irritabilité. Tournant les yeux, je remarque que quelque chose cloche dans le décors, quelque chose de rouge  et anguleux, insolite, aussi insolite que ma tête dans ce monde. Je m’arrête sur cette vision familière. Celle-ci se tourne vers moi dans son grand manteau noir, tout aussi familier.

Je ne peux que reconnaître ce profil, ce nez long et fin, cette forme noire  dessinée en dessous d’un regard vert et facétieux, une larme. Il sait que je suis là, il me regarde du coin de l’oeil.

-Alors c’est toi Isa.

Il est trop loin, il a parlé bas mais je l’ai entendu. Ma vision s’embrouille.

-Lea.

Non, ce n’est pas Lea, c’est Axel, ou bien si.

-Ou bien si ?

La scène quotidienne continue de se dérouler autour de nous, le brouhaha permanent, tandis que je converse avec la seule personne que j’ai suffisamment connue dans ma vie pour savoir qu’elle comptait.

-Mais il y avait « la fille » aussi.

Je sais. Ou plutôt, je commence à comprendre que si je le vois remuer les lèvres et que je l’entends distinctement dans ma tête c’est parce que les choses ne sont pas réellement en train d’arriver, mais ce n’est pas parce que ce n’est pas réel et matériel que j’en suis moins perturbé.

Je prends appui sur la charrette, qui, pour le coup elle, est bien réelle.

-La fille est morte. Quoi qu’il en soit, elle a disparu trop tôt pour que nous ayons le temps de…
-Morte ? Le crois-tu vraiment ou est-ce ce que tu te dis pour te rassurer d’avoir arrêté d’y penser et de remuer ciel et terre pour savoir ce qui était arrivé ?

Je sens l’agitation monter en moi, mes poings se contractent. Cette discussion n’est définitivement pas en train d’arriver.

-Si tu étais vraiment Lea, ou Axel, à vrai dire peu importe, tu saurais qu’il a arrêté d’y croire bien avant moi. Tu saurais qu’il est passé à autre chose, qu’il a trouvé de nouveaux amis, abandonnant ceux qui étaient toujours…

Je vois les deux gamins qu’il a rapidement préféré à moi, dès qu’ils sont apparus dans sa vie avec une facilité déconcertante. Je les revois ensemble, et Axel me rappeler ainsi à quel point je n’étais plus l’adolescent avec lequel il aimait jouer et échafauder des plans irréalisables.

-Laisse-moi rire, vas-tu finir ou as-tu besoin de mes larmes pour pleurer ?
-Qui que tu sois, tu devrais fermer ta gueule.

Je sens ma main chercher une arme sur ma ceinture puis quelque chose la retient. La tempête s’arrête et laisse la place à un vent frais.

-Toi, ça ne va toujours pas, tu es pâle, enfin… je veux dire, plus que d’habitude.

J’ouvre les yeux sur Demelza, elle tient mon poignet entre ses doigts peu soignés mais fins. Je tourne les yeux vers l’endroit où se trouvait Lea.

-Tu… tu es là depuis combien de temps ?
-Bah… Je viens d’arriver.

Je sens son inquiétude m’entourer de toute sa tendresse.

-Tu…Euh…
-Quoi ?

Je ne quitte pas des yeux l’emplacement désormais dépouillé de toute tache rouge.

-On devrait rentrer, Isa.
-Demelza ?
-Ouais ?

J’hésite un instant avant de lui poser la question, avant d’être prêt à accepter que je deviens peut-être fou.

-En arrivant ici, as-tu vu un homme avec des cheveux rouges ?
-Des cheveux rouges ?
-Oui, on ne peut pas le rater,  il porte un long manteau noir.
-Non, je n’ai rien vu.
-D’accord. Rentrons.

Tant pis pour Claude. Il devra attendre. Quand nous arrivons, je ne peux me sortir une idée de la tête, je me précipite à l’intérieur sans dire mot. Je gagne immédiatement la chambre et entreprends une fouille minutieuse de mes affaires.

-Qu’est-ce qui se passe Isa ? t’es vraiment… bizarre.
-Ecoute, ne le prends pas mal mais… tu devrais peut-être… ouais, tu devrais peut-être sortir. Ça va aller, je te promets que je ne vais rien casser, je ne vais pas m’énerver, mais ce sera… Plus facile si t’es pas là.

Elle a comme un mouvement de recul, comme si je venais de la repousser physiquement avec mes mots maladroits. Elle se retourne et marche avec hésitation jusqu’à la porte. Un instant je regrette, lève la main, m’apprête à m’excuser puis je me ravise. Non, c’est mieux si elle n’en attend pas trop.

Au vu du peu d’affaires que je possède, je finis par trouver ce que je cherchais. Je le regarde, le prends dans mes mains, le pends en l’air et l’inspecte. Je ne sais pas à quoi je m’attendais ni ce que je voulais prouver mais je suis comme…rassuré. Rassuré de voir que certaines choses sont bien réelles. Je l’enfilerais bien, juste pour me rappeler ce que cela fait mais y renonce, toujours persuadé qu’il renferme une part de pouvoirs et de mystères dont je n’ai pas idée. Comme si… le seul fait de le reporter pouvait me remettre dans ma vie d’avant, redevenir simili, ou quelle que soit sa nouvelle forme, obéir à Xemnas.

Questions


1) Votre personnage est-il capable d’aimer, d’avoir une relation ?
Oui.

2) Si l’esprit de votre personnage s’incarnait en un animal mythologique ou chimérique ou réel (nuances acceptées). Que serait-il ?
On va dire... la Furie.

3) Qu’en est-il de la fidélité et de l’esprit de camaraderie de votre personnage ?
Le problème ce n'est pas lui.

4) En vue de votre race, quand pouvez-vous dire que votre personnage a forgé une amitié. Citez quelques unes de vos relations amicales.
Lea, et la fille, si l'on peut dire compte tenu du peu de temps qu'ils ont passé avec elle.

5) Quelle est la devise de votre personnage ? S'il y en a plusieurs, donnez les toutes.
J'ai horreur de cette question... Je passe !

6) Vis à vis de votre façon d'écrire, quels sont vos points forts et points faibles?
En tant que joueuse, c'est évidemment la régularité et le manque d'implication niveau faiblesse. Je fais de bons dialogues, il parait. Niveau fiche, j'ai bien conscience de n'avoir qu'effleuré le personnage dans cette présentation mais j'ai bien l'intention d'approfondir plus les liens avec son parcours dans la suite ainsi que son intégration dans le groupe du Sanctum.

7) Pourquoi incarner ce personnage ?
Je l'ai toujours trouvé stylé et classe. C'est basiquement pas plus compliqué que cela. C'est bateau mais vrai. Voulant essayer un personnage véritablement KH il s'est un peu imposé à moi, même si j'ai un peu peur de ne pas réussir à lui rendre justice, ce qui est évidemment l'enjeu avec un personnage existant.








Dernière édition par Cassandra Pentaghast le Ven 8 Jan - 22:35, édité 58 fois
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